La Nation Bénin...
Florentin Tchaou[/caption]
L’Union progressiste le Renouveau multiplie les actions sur le terrain pour une victoire écrasante au soir du 8 janvier prochain. Pour Florentin Tchaou, 4e titulaire du parti dans la 16e circonscription électorale, cette formation politique se veut la plus grande au Bénin et tiens à maintenir le cap.
La Nation : La campagne a démarré depuis plus d’une semaine. Quelles sont les actions que votre formation politique a menées jusque-là pour s’assurer la victoire au soir du 8 janvier prochain ?
Florentin Tchaou : Notre formation politique l’Union progressiste le Renouveau est un parti qui regroupe plusieurs forces politiques et de grands leaders. C’est une formation qui s’est fait enraciner dans toutes les contrées du pays. Nous sommes majoritaires au Parlement. Nous contrôlons une bonne partie des maires. Même chose au niveau des élus locaux. La ville de Cotonou est dirigée par un maire de notre formation politique. Sur les 13 arrondissements de la ville, 11 sont de l’Up le Renouveau. Donc, cette campagne, le travail se fait de façon très organisée. Tous les démembrements se sont mis à la tâche en matière d’affichage. Au cours des différentes rencontres nous expliquons notre vision : nous sommes la plus grande formation politique et nous tenons à maintenir le cap. En dehors des grandes rencontres, nous parcourons hameau par hameau, maison par maison, quartier par quartier en présence de notre tête de liste, le professeur Joseph Djogbénou. Notre mission contrairement aux intox qui circulent est de donner une stabilité au Programme d’action du gouvernement.
Sentez-vous que le message que vous délivrez aux populations est bien accueillis ?
Le message est très bien accueilli dans la grande couche. Nous y allons dans toutes les langues pour faire passer notre message parce que notre liste est composée de plusieurs ethnies. Notre message est de stabiliser ce qui est entamé en matière de réforme.
Que faites-vous pour maintenir la paix au sein des populations ?
La paix c’est une obligation. Toute personne animée de bonne foi, appelée à diriger à l’obligation de prôner la paix. Sans elle, il n’y a pas animation de la vie politique et nous avons l’obligation de pouvoir la sauvegarder. Nous sommes au travail et notre mission est de faire la promotion des actions du président de la République.
C’est déjà le dernier virage de la campagne. Quelle sera la suite ?
Après la formule de porte-à-porte, nous allons passer dès ce jour à des grands rassemblements, des meetings de festivité pour annoncer d’avance cette belle réussite.
Par Ariel GBAGUIDI & Isidore GOZO