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Le vice-premier ministre chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, François Adébayo Abiola a procédé hier, lundi 22 juin au Collège catholique Père Aupiais de Cotonou, au lancement de l’examen du Brevet de technicien supérieur (BTS), session de juin 2015. Issus de 24 filières et au nombre de 6 568, les candidats composent dans 12 centres sur toute l’étendue du territoire national.
Après les candidats au Baccalauréat il y a quelques jours, ce sont ceux du BTS qui sont au charbon, depuis hier, lundi 22 juin. C’est au Collège catholique Père Aupiais de Cotonou que le vice-premier ministre chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, François Adébayo Abiola, a procédé au lancement dudit examen.
Aucune difficulté majeure, confie le directeur du collège et chef du centre de composition, l’abbé Thierry Gomez, n’a été enregistrée. « Depuis une semaine, on était à pied d’œuvre avec le directeur des Examens et Concours de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Les recommandations ont été données et nous avons essayé de les suivre à la lettre afin que tout soit prêt pour accueillir les candidats », a-t-il précisé pour expliquer l’organisation qui a été mise en place.
Le Collège catholique Père Aupiais accueille des candidats de la filière Transport et Logistique. Ils sont 395 inscrits répartis dans les 20 salles ouvertes.
Par rapport au choix du Collège catholique Père Aupiais pour abriter la cérémonie du lancement, le vice-premier ministre François Adébayo Abiola a indiqué que c’est pour rendre hommage à un établissement qui a formé de hauts cadres qui sont aujourd’hui, au service de la nation. Il a ensuite insisté sur l’importance du BTS. Le vice-premier ministre a pris à témoin la qualité des personnalités académiques telles que les professeurs Philippe Noudjènoumè, Luc Agnankpé, Toussaint Tchitchi et autres présentes hier dans le centre à l’occasion du lancement. «Le BTS permet une insertion plus ou moins dans la vie active lorsqu’on en est détenteur», a-t-il poursuivi. Il s’est réjoui d’avoir vu des candidats très sereins, déterminés et d’autres qui sont pressés de décrocher ce diplôme parce que des promesses d’embauche leur ont été déjà faites en cas de réussite.