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Affaire Putsch déjoué : 31 personnes en prison

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Affaire Putsch déjoué Affaire Putsch déjoué

Dès les premières heures après le putsch manqué, dimanche 7 décembre, Patrice Talon, président de la République promettait que l’acte ne resterait pas impuni. Cette promesse sera tenue. L’enquête judiciaire ouverte à cet effet connait déjà une évolution considérable.

Par   Joël C. TOKPONOU, le 16 déc. 2025 à 13h55 Durée 3 min.
#Affaire Putsch déjoué

Dans la matinée de ce mardi 16 décembre, 31 personnes, soit 30 militaires et un civil ont été mis sous mandat de dépôt. Ils sont désormais derrière les barreaux en attendant le jugement qui fixera leur implication ou non dans cette mutinerie qui a été déjouée par les forces armées loyalistes.

 

Avant leur mise en détention, les 31 personnes qui étaient en garde-à-vue, ont été présentées au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), à la commission d’instruction puis au juge des libertés. C’est au terme de ce processus que la mise en détention a été prononcée.

 

A en croire des sources judiciaires, plusieurs chefs d’accusation sont retenus à leur encontre. Il s’agit d’attentat à la sûreté de l’Etat, trahison, intelligence avec une puissance étrangère, assassinat…Affaire Putsch déjoué : 31 personnes en prison

 

Dès les premières heures après le putsch manqué, dimanche 7 décembre, Patrice Talon, président de la République promettait que l’acte ne resterait pas impuni. Cette promesse sera tenue. L’enquête judiciaire ouverte à cet effet connait déjà une évolution considérable.

 

 

Dans la matinée de ce mardi 16 décembre, 31 personnes, soit 30 militaires et un civil ont été mis sous mandat de dépôt. Ils sont désormais derrière les barreaux en attendant le jugement qui fixera leur implication ou non dans cette mutinerie qui a été déjouée par les forces armées loyalistes.

 

Avant leur mise en détention, les 31 personnes qui étaient en garde-à-vue, ont été présentées au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet), à la commission d’instruction puis au juge des libertés. C’est au terme de ce processus que la mise en détention a été prononcée.