La Nation Bénin...
Pour
s’assurer du niveau de préparation et d’organisation du Baccalauréat, session
de juin 2024, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
scientifique, Eléonore Yayi Ladekan, et son homologue des Enseignements
secondaire, technique et de la Formation professionnelle, Yves Chabi Kouaro,
ont tenu une séance de travail avec le directeur de l’Office du Baccalauréat et
les superviseurs généraux. C’était vendredi 14 juin dernier à la salle de
réunion de la Direction générale de l’Office du Baccalauréat (Dgob).
Du
côté de la Dgob, structure organisatrice du Baccalauréat, tout est fin prêt
pour une organisation réussie et sans anicroche de cette session de juin 2024.
« L’Office du Baccalauréat est fin prêt et souhaite bonne chance à tous, aux
candidats et au système éducatif. J’ai rencontré tous les chefs-centres, les
superviseurs », a signifié le directeur de l’Office du Baccalauréat, Alphonse
da Silva, avant d’exprimer sa gratitude au président Patrice Talon et à son
gouvernement pour les moyens mis à disposition.
Pour le ministre Kouaro Yves Chabi, l’objectif de cette séance est de voir de plus près l’état final des préparatifs du Baccalauréat. « Depuis plusieurs années, nous le préparons sans stress parce que nous sommes rassurés de l’équipe qui a été mise en place par le gouvernement », indique-t-il. « Je voudrais vous rassurer que ce que j’ai vu est bon. Nous aurons un Baccalauréat bien organisé, comme d’habitude », a-t-il confié, tout en ajoutant que les candidats sont suffisamment préparés pour affronter les épreuves écrites. «Les programmes ont été assurés à 100 % dans tous les établissements. Nous avons vérifié cela. Le corps d’encadrement et de contrôle a fait son travail avec le réseau d’encadrement d’animation pédagogique », a-t-il fait savoir.
Pour
sa part, la ministre Eléonore Yayi Ladekan a remercié le Dgob et ses
collaborateurs pour le travail abattu. A l’en croire, le Baccalauréat est un
examen très sensible qui met à contribution plusieurs acteurs. « L’organisation
du Bac, c’est beaucoup de superviseurs, les chefs-centres. Il y a aussi les
centres de supervision, de correction, de délibération, sans oublier les
centres de composition. Tout ceci mobilise l’attention du gouvernement », a
souligné la ministre. « Nous avons constaté que tout ce qui doit être fait, a
été réellement effectué. Je suis déjà venue un certain nombre de fois et le
Conseil d’administration a joué son rôle. Les mesures sécuritaires sont prises
et personne ne sera brimé », va-t-elle rassurer.