La Nation Bénin...
Le Collège d’enseignement général (Ceg) de Sèmè- Podji a accueilli, ce lundi 16 juin, le lancement officiel des épreuves écrites de l’examen du baccalauréat session de 2025. Le top de la composition a été donné par les ministres Eléonore Yayi Ladékan et Véronique Tognifodé chargées respectivement de l’Enseignement supérieur et de des Enseignements secondaire et technique et de la Formation professionnelle.
L’examen du baccalauréat session de juin 2025 a démarré,
hier lundi, sur toute l’étendue du territoire national. L’assurance a été
donnée par la ministre chargée de l’Enseignement supérieur, Eléonore Yayi
Ladékan, au Collège d’enseignement général (Ceg) de Sèmè-Podji, où elle a
procédé au lancement officiel des épreuves au plan national.
Selon elle, les échos qui lui parviennent des autres
centres de composition sur l’ensemble du territoire national rassurent de l’effectivité
du démarrage partout. Ce qui témoigne, à l’en croire, de ce que les efforts
déployés par le gouvernement pour le bon déroulement des épreuves écrites du
Baccalauréat session 2025 ont porté leurs fruits. L’autorité ministérielle a
salué avec satisfaction la bonne organisation sur le terrain au niveau du
centre du Ceg de Sèmè-Podji qui compte 876 candidats des séries A1 et B
répartis dans 30 salles de composition. « Tout a été très serein. L‘équipe de
supervision était sur les lieux. Chaque candidat, à son arrivée, se dirige
sereinement vers sa salle de composition », a noté Eléonore Yayi Ladékan. «Nous
sommes déjà en face d’un examen bien lancé. Il n’y a pas de raison que les
résultats ne soient pas bons à la fin », a-t-elle rassuré.
Le lancement de cette session du Bac 2025 s’inscrit dans
la continuité d’une année scolaire bien conduite sur toute l’étendue du
territoire national, a appuyé la ministre Véronique Tognifodé en charge de
l’Enseignement secondaire et technique. Cette sérénité notée partout a été
possible grâce à l’engagement des équipes pédagogiques ; au respect du
calendrier scolaire et à l’amélioration du système de formation au niveau du
sous-secteur de l’enseignement secondaire.
« Les candidats ont été bien préparés pour affronter chacun les épreuves
avec confiance, courage et détermination. Ce sont les efforts personnels qui
sont les meilleurs gages de réussite », a indiqué Véronique Tognifodé. Selon
elle, le Bénin peut s’enorgueillir de disposer dorénavant d’un système d’enseignement
secondaire cohérent, stable et crédible et qui d’ailleurs fait école dans la
sous-région.
Le préfet de l’Ouémé, Marie Akpotrossou se réjouit d’abord du choix porté sur son département pour abriter le lancement officiel des épreuves mais aussi du fait que les candidats sont placés dans de bonnes conditions pour donner le meilleur d’eux-mêmes. L’autorité préfectorale invite les parents à bien prendre soin des candidats et surtout à semer la bonne humeur en eux pendant ces trois jours de composition, car tout cela compte aussi dans le rendement des enfants.