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Prise en charge de la santé reproductive de la femme: La Clinique Procréa propose son expertise et sa technologie de pointe

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Meet and Greet s’affiche comme un espace privilégié pour échanger... Meet and Greet s’affiche comme un espace privilégié pour échanger...

L’infertilité est devenue un problème majeur pour les populations et représente plus de 50 % des consultations gynécologiques. Un souci qui hante bien des familles et qui prend de l’ampleur de jour en jour du fait du contexte, des habitudes de vie, de l’environnement et de nombreux autres facteurs. Autant le mal est préoccupant, autant il existe des solutions modernes et efficaces. L’une d’elles a nom la Clinique Procréa. 

Par   Josué F. MEHOUENOU, le 06 mars 2025 à 07h04 Durée 3 min.
#santé reproductive

La Clinique Procréa place l’humain au centre de sa mission depuis 16 ans. Elle s’engage à informer, sensibiliser et offrir un accompagnement personnalisé aux couples dans leur parcours de parentalité. Son approche axée sur l’écoute et le respect, est soutenue par une expertise médicale et un engagement envers la qualité, attestés par les certifications Gieraf (depuis 2017) et Iso 9001 : 2015. En Côte d’ivoire où elle est implantée, la Clinique Procréa passe pour un leader de l’Assistance médicale à la procréation (Amp). Elle totalise à ce jour, plus de 4 000 couples pris en charge en Amp, plus de 1500 démarrages de grossesse pour plus de 1400 bébés nés. En dépit de ce succès, le centre travaille à amoindrir les facteurs de risque qui peuvent mettre à mal le désir de maternité. Autant la Clinique Procréa est à l’écoute des populations et des couples désireux de procréer, autant elle tend la main au personnel soignant et aux spécialistes en santé afin que chacun joue sa partition et de la meilleure des manières.

Lundi 24 février dernier, des responsables de la Clinique ont organisé à Cotonou un « Meet and greet » sur le thème « Prise en charge du couple infertile, quand référer?». Un clinicien et un biologiste ont animé les discussions devant un parterre de personnel de santé de tous ordres. L’idée, c’est d’échanger entre professionnels pour convenir de bonnes pratiques afin que rien ne soit trop tard ni fait au hasard dans l’accompagnement du couple infertile.

A la clinique Procréa, le taux de réussite moyen s’évalue à 42 %, rappelle Titilola Ladikpo, gynécologue-obstétricienne. La clinicienne, dans sa présentation à l’occasion, indique que la Clinique dispose de quatre grands pôles que sont l’Amp, le pôle Femme-mère-enfant, la médecine générale et urgences et enfin les spécialités chirurgicales et réanimation. Elle utilise depuis peu le Diagnostic préimplantatoire (Dpi) pour dépister les anomalies chromosomiques et les maladies monogéniques avant le transfert embryonnaire. Elle travaille aussi à l’amélioration de la sélection embryonnaire, réduisant ainsi le risque de fausses couches et de naissances d’enfants atteints de maladies génétiques. Ceci, pour offrir aux couples porteurs de risques génétiques connus la possibilité d’avoir des enfants sains.

En finir avec l’infertilité

En somme, elle déploie une technologie haut de gamme et allie à l’expertise de son personnel, attention et soins pour chaque cas qui se présente. Nogodoussou Meite Gogbe, coordonnatrice médicale de l’assistance à la procréation, présente cette rencontre comme un espace privilégié pour échanger sur les nouvelles voies de procréation pour la santé des femmes et des enfants. « Les patients viennent de partout… Les besoins en Amp sont partout. Il est important d’en parler », insiste-t-elle. « Nous avons un plateau technique très performant, des médecins formés, des collaborateurs compétents. Nous réalisons une prise en charge multidisciplinaire, très personnalisée », soutient de son côté, Titilola Ladikpo. Selon elle, le problème de l’infertilité est un sujet important que tout le monde doit maîtriser. Elle appelle à sensibiliser le plus possible les couples, « pour que dès qu’il y a un problème, ils puissent se diriger vers des personnes référentes et compétentes pour une prise en charge adaptée ».

Pour ce qui est de sa présence à Cotonou, « nous sommes leaders, nous avons une grande expertise, et nous souhaitons vraiment contribuer à l’amélioration de la prise en charge des couples infertiles. Et pour cela, nous souhaitons partager notre expérience avec les collègues, avec les agents, les professionnels de la santé, pour mettre en place un réseautage qui va nous permettre de réussir main dans la main », précise-t-elle. De nombreux professionnels et spécialistes de la santé en charge pour la plupart du désir de parentalité ont pris une part active à la séance à travers des questions, apports et contributions diverses. Au nombre des participants, Dr Zayd Olatoundji, gynécologue-obstétricien. « C’est intéressant de pouvoir avoir de ces creusets pour échanger, donner la bonne information, pour que nous changions tous, nos habitudes de prise en charge dans le système de référencement des malades », confie-t-il au terme de la séance. Sa fierté, c’est de voir des centres de référence sous régionaux aux standards internationaux émerger pour la prise en charge de la santé reproductive de la femme.