Création d’un groupe de travail sur le numérique : Roland Riboux échange avec Aurélie Adam Soulé Zoumarou
Société
Par
Christian HOUNONGBE, le 05 avr. 2022
à
10h29
Aurélie Adam Soulé Zoumarou, ministre du Numérique et de la Digitalisation, a reçu, vendredi 1er avril dernier, en audience une délégation du Conseil des investisseurs privés au Bénin (Cipb) conduite par son président, Roland Riboux. Au menu des échanges, la collaboration entre le ministère du Numérique et le Cipb en vue de la création d’un groupe de travail sur le numérique.
Une délégation du Conseil des Investisseurs privés au Bénin (Cipb) conduite par son président, Roland Riboux a rencontré, vendredi 1er avril dernier, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, ministre du Numérique et de la Digitalisation, à Cotonou. Au cours de l’audience, il a été question de la collaboration entre le ministère du Numérique et le Cipb en vue de la création d’un groupe de travail sur le numérique.
Ahmed Sacca Yarou, directeur de cabinet de la ministre du Numérique et de la Digitalisation, a salué l’intérêt du Cipb pour le Numérique. « Beaucoup de choses se font en matière de la digitalisation des processus et nous sommes ouverts à accompagner le secteur privé », assure-t-il. Marc-André Loko, directeur de l’Agence pour le Développement du Numérique, quant à lui, salue le Cipb pour ce qui se fait dans le secteur de la justice et de la fiscalité et sa volonté de mettre en place un groupe de travail et un cadre de concertation avec le ministère. « Nous animons deux groupes de travail sur la justice et la fiscalité et nous sommes heureux de nous intéresser au numérique et donc de créer un groupe de travail sur le numérique », fait savoir Roland Riboux, satisfait des échanges au sortir de l’audience. Il pense également à la possibilité de la mise en place d’un cadre de concertation numérique entre les secteurs public et privé. Il se dit impressionné par l’ouverture d’esprit de la ministre et des membres de son équipe qui sont prêts pour une collaboration avec le Cipb qui regroupe aujourd’hui une quarantaine de grandes entreprises décidées à mutualiser leurs expériences, leurs compétences et leur poids économique pour influer sur l’environnement du Bénin. « Nous sommes pour la ministre une sorte de banc d’essai pour aller plus dans la digitalisation de tous les processus entre le secteur public et le secteur privé », conclut-il.