Adopter ou adapter à votre contexte, le concept de l’ikigai: L’équilibre entre ce qui vous passionne et ce dont le monde a besoin !

208 pages, c’est beaucoup donc on résume pour vous !

Publié en 2016, en huit chapitres bien structurés, l’ouvrage explore ce concept japonais qui pourrait se traduire par “raison d’être”. En s’appuyant sur des interviews, des observations sociologiques et des exemples concrets, ils expliquent pourquoi l’ikigai est central dans la culture japonaise, en particulier à Okinawa, l’une des régions du monde comptant le plus de centenaires.

Le terme ikigai se compose de deux mots japonais : iki (vivre) et gai (raison). Pour les habitants d’Okinawa, il s’agit de l’équilibre entre ce que l’on aime, ce dans quoi on est bon, ce dont le monde a besoin et ce pour quoi on peut être payé. Cet équilibre est la clé pour mener une existence pleine de sens.

Retenir les quatre grandes thématiques qui fondent l’Ikigai !

          1.Le bien-être quotidien : trouver du plaisir dans les petites choses.

          2.L’alimentation équilibrée : privilégier des repas simples et légers.

          3.L’importance de la communauté : s’entourer de liens humains forts.

          4.L’activité régulière : maintenir le corps et l’esprit actifs.

Et si vous essayiez ce mode de vie simple mais étonnamment efficace ?

“Un esprit serein dans un corps actif est la clé pour vieillir sans s’effondrer.”

À Okinawa, les habitants ne prennent jamais officiellement leur retraite ; ils continuent de contribuer à leur communauté, même à un âge avancé. Les auteurs soulignent également l’importance de l’alimentation. À Okinawa, le régime alimentaire se concentre sur les légumes, le poisson, le tofu et des portions modérées. L’un des proverbes locaux mentionnés dans le livre est évocateur : “Hara hachi bu”, qui signifie “mange jusqu’à être rassasié à 80 %.”.

La méthode du cercle efficace pour découvrir votre ikigai !

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Pour rendre leurs conseils pratiques, García et Miralles proposent des exercices simples comme la méthode du cercle pour identifier son propre ikigai :

          •         Écrire ce que l’on aime faire.

          •         Noter ce dans quoi on excelle.

          •         Réfléchir à ce dont le monde a besoin.

          •         Déterminer ce pour quoi on peut être rémunéré.

Ces réflexions permettent d’aligner passions, compétences et utilité sociale.

Bien qu’ancré dans une culture japonaise spécifique, le message du livre transcende les frontières. Il invite chacun à réévaluer ses priorités, à ralentir et à cultiver la gratitude. Comme le résument les auteurs : “La clé de la sérénité est d’embrasser chaque instant comme un trésor.”